摘要:En 2004, le Maroc a clos la cinquième année de la « nouvelle ère ». La presse marocaine a profité de l’occasion pour présenter un bilan du règne de Mohamed VI qui apparaît marqué du sceau de la réforme. Si certaines plumes n’ont pas dérogé à la tentation apologétique, tel H. Aourid, l’état des lieux est en général nuancé, selon que les analyses mettent l’accent sur les réalisations ou sur les carences de la « transition démocratique » ; ce qui, en soi, est un indice des progrès chaotiques, au...