摘要:Labour historians have characterized the 1920s as a time of working-class quiescence. The reality, at least in the case of Vancouver, was more complex. The work place may have become quieter, but working people were not inert. Organized activity focussed on the city's schools, not to overturn the system but rather to obtain fairer consideration for the children of working people. By opting for reform over class confrontation, working people allied themselves with like-minded, largely middle-class individuals equally concerned with educational reform. Considerable improvement of facilities resulted, despite active opposition by business interests concerned with immediate economic advantage. The consequence was that more children of working people, and more children generally, stayed in school a little longer. Resume Pour les spécialistes en histoire du travail, les années 1920 se présentent comme une période de calme. Dans le cas de Vancouver, au moins, la réalité s'est avérée plus complexe. Si le milieu de travail s'était assagi, les travailleurs et les travailleuses étaient loin d'être apathiques. Leurs activités ne visaient pas à renverser l'ordre établi mais, dirigées vers les écoles de la ville, elles réclamaient plus de considération pour les enfants de la classe ouvrière. En optant pour le réformisme plutôt que la confrontation des classes, les représentants de la classe ouvrière établirent des alliances avec des membres de la bourgeoisie animés par les mêmes intentions et également préoccupés de réformes scolaires. Il en est résulté des améliorations importantes malgré la vive opposition du milieu des affaires plus intéressé à obtenir des avantages économiques immédiats. Par conséquent, les enfants de la classe ouvrière, comme les jeunes en général, jouirent d'une certaine prolongation de leur scolarité.