出版社:Canadian Academy of Oriental and Occidental Culture
摘要:‘Development” –a term that entered popular discourse in the late 1980s has certainly been become one of the most debatable buzzwords of the new millennium. The nature and philosophy of development has been the subject matter of profound debates and concerns in economic, political, cultural studies and academic circles since the mid 1980s. However, mainstream economic thought regarding development promises that it would lift the poor above poverty, dissolve dictatorship, protect the environment, integrate cultures, and reverse the growing gap between the rich and poor countries of the world. But in reality, models of the mainstream economic development has brought about the devastating destruction of the traditions, the continued subordination of poor nations and regions by richer countries of the west, environmental degradation, and posed a serious thread to indigenous and non-western cultures and economies. The conventional development thought has resulted in the penetration and expansion of western economist, media, technologies and tremendous clout to define the situation. This paper argues that through the development process, like colonization, modernization, globalization, the west is exploiting and exerting dominance over the other country’s economies, cultures and traditional way of life. The west makes space of development by identifying, defining certain problems and prescribes remedy for the “Third World” countries. Through the United Nations, the IMF, the World Bank, Donor Agencies and these institutions’ legal authority, the West along with its most advanced technologies and professional and institutional knowledge controls all major political and economic affairs of the globe. The paper argues this issue from anthropological perspective that is, holistic perspective, that encompasses economic and non-economic factors simultaneously. In fact, those who advocate development today inherit form Entitlement orientation. The Entitlement offered a universal application of reason to human affairs and it embedded in a philosophy of history with a meta-narrative concerning the continued onward march of society due to the result of science, technology and money. And in this connection, development resurrects an imagined totality of human culture. Anthropological perspective, on the other hand, rejects any such overarching “meta-narrative” and scheme of totalitarian human society and that would pretend to erase the irreducible differences of human experiences. Yet, whatever the nature and philosophy of development how anthropological view can provide alternative look in this regard has been attempted to reconstruct. Key words: Capitalism, Cold War, Colonialism, Globalization, IMF, Modernization, Post-development, Third World, World Bank, Western Economics, Neoliberalism, UNDP, United Nations Résumé: Le développement- un terme qui est entré dans le discours populaire à la fin des années 1980 est certainement devenu l’un des mots les plus discutables du nouveau millénaire. La nature et la philosophie du développement ont été le sujet majeur des débats et soucis profonds dans les études économique, politique et culturelle ainsi que le cercle académique depuis le milieu des années 1980. Néanmoins, la pensée économique principale sur le développement promet qu’il peut dégager les pauvres de la pauvreté, dissoudre la dictature, protéger l’environnement, mélanger les cultures et raccourcir l’écart de croissance entre les pays riches et pauvres du monde. Mais en réalité, le modèle du développement économique principal a entraîné la destruction dévastatrice des traditions, la subordination continue des nations ou régions pauvres aux pays riches occidentaux, la dégradation environnementale, et lance un défi sérieux aux cultures et économies indigènes et non-occidentales. La pensée de développement conventionnel a conduit à la pénétration et l’expansion des économies, médias et technologies occidentaux, et l’influence considérable sur la situation. Le présent article argumente que, à travers le processus du développement comme la colonisation, la modernisation et la globalisation, l’Occident exerce son dominance sur les économies, les cultures et les modes de vivre traditionnels des autres pays. L’Occident crée l’espace de développement en identifiant certains problèmes et en prescrivant des remèdes pour les pays du Tiers Monde. A travers l’ONU, le FMI, la Banque mondiale, les Agences de donateur et les autorités légales de ces institutions, l’Occident, moyennant ses technologies avancées et ses savoirs professionnel et institutionnel, contrôle toutes les affaires politiques et économique majeures du monde. L’article argumente de cette vue dans la perspective anthropologique, perspective globale, qui contient simultanément les facteurs économiques et non-économiques. En fait, ceux qui préconise le développement aujourd’hui héritent de l’orientation de Droit. Le Droit fournit une application universelle de la raison aux affaires humaines et s’implante dans la philosophie de l’histoire avec un méta-récit concernant la marche avancée de la société due au résultat de sciences, de technologie et d’argent. En la matière, le développement ressuscite une totalité de la culture humaine imaginée. La perspective anthropologique, d’autre part, rejette tout méta-récit et système de la société humaine totalitaire, et prétend à effacer les différences irréductibles de l’expérience humaine. Cependant, quoi que soient la nature et la philosophie du développement, comment le vue anthropologique peut offrir un aspect alternatif sur ce point a été tenté de reconstruire. Mots-Clés: capitalisme, guerre froide, colonialisme, globalisation, FMI, modernisation, post-développement, Tiers Monde, Banque mondiale, économies occidentales, néolibéralisme, PDNU, ONU